Des billes, bien sur qu’il s’en fabrique encore dans des usines chinoises ou taïwanaises et même des belles, de toutes les couleurs, en verre ou en résine, mais la petite bille traditionnelle en terre qui ne faisait plus rêver nos chères têtes blondes, plus personne n’en voulait et pourtant Noémie qui nous a reçu au fond de son atelier par un froid matin où la neige n’était pas loin, s’est accrochée à son projet et elle est en passe de réussir son challenge.